tvx.jpgles Tiaretiens ne vous diront pas que la ville est bien prise en chatge, mais incompetence ou tmankir là le sujet peut facher et les deux sont condamnables, ces deux mots que se répétent sans cesse dans le bus, la place publique ou dans un guichet de l'administration. Pour le comprendre nous citons des exemples d'urbanisme vérifiable à l'oeil nu. commençant par le grand hôtel d'orient qui, illustre ce raisonnement. Il est achevé dans un style saloon vers 1900 , une vingtaine d'année plus tard un étage fut ajouté et encore un autre étage sans remarquer la moindre différence, Il fallait attendre un siecle plus tard et voir un nouveau propriétaire "étatique" ralonger la batisse de 2 autres étages au mépris de tout regard. cette extension visible avec une exécution maladroite en plein centre ville et la réponse choquante d'un architecte en sus "et puis après, nous ne sommes pas à la premiere betise". Le vieux tissu urbain attendant son reamenagement, et laissant l'opportinuté à certains, comme ce commerçant sans etre soucié. Il ferme un passage "drouj dhalma" et l'utilise comme commerce "absurde" coupant ainsi la liaison entre deux rues à savoir la rue Emir AEK et le marché couvert. Encore une trémie qui étrangle la circulation au lieu de la désengorger au regina, un ensemble commercial sous terrain à la place Boudiaf d'aucune utilité, des centres commerciaux et des petits magasins un peu partout et qui ne servent à RIEN inutilsés à ce jour ou encore plus, degradés avant usage, et d'autres en construction . faire et refaire les trottoirs et qui parfois atteignent des hauteurs de 50 cm. Il suffit de voir le siège "bati recement" de la DUC et la DLEP garants de de l'urbanisme et de l'esthetique de la ville entre autre n'est qu'un simple cube de béton. Plus grave encore mutoyen au château Rousseau residence du wali, une construction vient se greffer au tissu urbain pour le défigurer totalement et l'autre en face sans que personne ne bouge le petit doigt. Le projet de construction de 180 logements qui longe la route de Sougueur à coté de la centrale de police, n'est jamais sorti de terre. Le mega parc de l'ancienne entreprise de transport urbain est concédé au dinar symbolique alors que la commune dispose d'un tout petit parc communal encombrant en plein centre ville.une piscine déjà est depuis plus d'une décennie dans l'agonie. les exemples peuvent prendre des pages mais nous nous arretons là, pour conclure cette situation qui, n'a que trop duré dans l'insouciance totale et générale, dans beaucoup de cas, elle est irréversible, tel sont les choix urbanistiques, et ce qui est sur les générations à venir ne trouveront que de grandes balafres urbaines. 

 

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